AUXONNE : LES ORIFLAMMES ET LE TÉLÉGRAPHE (4)
En 2017,N t Ce quatrième épisode sera volontairement court et récréatif. Nous réservons pour la suite des développements plus techniques.
Pour l'heure nous suggérons à nos bienveillants lecteurs qui auraient pris le train en marche de retrouver nos épisodes précédents à l'aide du lien ci-dessous.
AUXONNE : LES ORIFLAMMES ET LE TÉLÉGRAPHE (3)
La lecture attentive du cahier manuscrit, dont il est déjà question dans les articles précédents, a pu se révéler pour nous à l'occasion ennuyeuse par son caractère répétitif. De cette mine ingrate nous avons tiré cependant quelques pépites.
En ce jour de Fête de la Nativité de la Vierge Marie (Sainte patronne d'Auxonne) et en cette période commémoration-anniversaire de la libération de notre ville le 09 septembre 1944 nous avons jugé bon de vous faire partager l'une de ces pépites, très sympathique et bien sucrée qui, pour une fois, ne vous torturera pas les méninges.
La suite au prochain numéro.
Et ne manquez pas de mettre vos pas dans ceux du télégraphiste en vous offrant dès que possible une montée à la Tour de l'église Notre-Dame.
/image%2F1385607%2F20250905%2Fob_a9a254_auxonne-1884-nouvelles-telegraphiq.jpg)
Vue du barrage d'Auxonne vers 1850 par Charles-Edouard Rougeot - Huile sur toile - Collections du Musée Bonaparte à Auxonne - Photo B. François.