AUXONNE : LES ORIFLAMMES ET LE TÉLÉGRAPHE (2)
En 2017, Martine, notrDans un précédent article sur le même sujet (en lien ci-dessous) nous nous engagions à éclaircir pour nos fidèles lecteurs la fonction passée des curieux supports de fer fixés sur le parapet de pierre ajouré de la plate-forme supérieure de la tour de l'Église Notre-Dame d'AUXONNE.
AUXONNE : LES ORIFLAMMES ET LE TÉLÉGRAPHE (1)
La consultation attentive d'un cahier manuscrit, portant sur sa couverture l'étiquette manuscrite « Télégraphie optique » déjà évoqué dans ce premier article nous a permis depuis de résoudre l'énigme. Retrouvons l'image de sa couverture, déjà publiée dans le précédent article
Revenons maintenant au sujet principal du présent article : « les trois supports de fer fixés sur le parapet de pierre au sommet de la tour de l'Église Notre-Dame d'AUXONNE ».
Comme disait Napoléon (le vrai!), « un bon croquis vaut mieux qu'un long discours » et le document en PDF qui suit vous permettra de les découvrir en situation. Sans monter les 169 marches !
À propos de monter les marches, nous vous proposons la lecture d'un document écrit, daté et localisé, occupant, après quelques feuillets vierges, la dernière page du fameux cahier bleu. C'est un brouillon, l'écriture en est beaucoup moins soignée que dans le reste du cahier...un brouillon d'une lettre de démission dont on peut supposer qu'elle fut envoyée.
Pour votre confort nous en avons réalisé une fidèle transcription sur le document en PDF qui suit, ainsi qu'une brève analyse
Sans entrer dans le détail, il nous reste à présenter succinctement la télégraphie optique militaire en usage à cette époque.
Dans un troisième épisode, nous présenterons ultérieurement quelques échantillons des dépêches envoyées et reçues, par ce télégraphiste au cours de l 'année 1884